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Eudora Welty
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 Eudora Welty, Anglais |
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 Eudora Welty, Fran�ais |
 Eudora Welty, Chinois |
 Eudora Welty, Allemand |
 Eudora Welty, Italien |
 Eudora Welty, Portugais |
 Eudora Welty, Japonais |
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Eudora Welty Peinture à l'huile sur toile 17.78 cm per 12.70 cm. |
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Eudora Welty (avril 13, 1909 - juillet 23, 2001) a �t� soutenu � Jackson, au Mississippi et elle a v�cu une partie significative de sa vie dans le voisinage de Belhaven de la ville, o� sa maison a �t� pr�serv�e. Elle a �t� instruite � l'universit� d'�tat du Mississippi pour les femmes (maintenant appel�es l'universit� du Mississippi pour des femmes), l'universit� du Wisconsin, et l'universit� de Colombie. Pendant les ann�es 30, Welty a fonctionn� comme un photographe pour l'administration d'avancement de travaux. Ce travail lui a envoy� partout l'�tat du Mississippi prenant des photographies des personnes de toutes les classes sociales �conomiques et. Les collections de ses photographies sont une fois, un endroit, et photographies.
Mais l'amour vrai de Welty �tait langue, pas photographie, et elle a bient�t consacr� son �nergie � la fiction d'�criture. Sa premi�re histoire courte, "mort d'un repr�sentant de commerce," apparu en 1936 et en 1941 elle a �dit� sa premi�re collection d'histoires courtes, un rideau de vert. Son roman, la fille de l'Optimist, a gagn� le prix de Pulitzer en 1973. L'auteur canadien, Alice Munro, a dit q "'Un chemin us� de Welty" est peut-�tre l'histoire courte la plus parfaite jamais �crite. Eudora Welty est mort de la pneumonie � Jackson. Le client Eudora de E-mail a �t� baptis� du nom d'elle (dans la r�f�rence � sa histoire courte "pourquoi je vis au P.o.") . |
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Œuvres d'Eudora Welty disponibles en traduction française |
Fictions, pr�f. Michel Gresset, Paris, Flammarion, " Mille et une pages ", 2000. Oncle Daniel, le g�n�reux [roman, 1954], trad. G�rard Petiot, Paris, Flammarion, 1997 [�puis�]. Les pommes d'or, trad. Michel Gresset, Sophie Mayoux, Paris, Flammarion, 1995 [7 nouvelles] La Mari�e de l'Innisfallen, trad. Andr� Davoust, G�rard Petiot, Paris, Flammarion, 1992. Les D�buts d'un �crivain, trad. Michel Gresset, Paris, Flammarion, 1989. [autobiographie litt�raire]. L'Homme p�trifi�trad. Michel Gresset, Armand Himy, pr�f. Katherine Ann Porter, " Biblioth�que anglaise ", 1986/" GF ", 1988 [nouvelles]. Le Chapeau violet, trad. Sophie Mayoux, Paris, Flammarion, " Biblioth�que anglaise ", 1987 [8 nouvelles] - Mariage au Delta, trad. Lola Tranec, Paris, Gallimard, " Du monde entier ", 1957 - non disponible. Le Brigand bien-aim�, trad. Sophie Mayoux, Paris, Flammarion, 1989 [conte]. Femmes et �criture au Canada, L'Homme et la Steppe, Les sortil�ges du Conteur, La Mort de M�duse, Eudora Welty.
Elle avait intrigu� William Faulkner qui, � la lecture de son premier roman Le Brigand bien aim� en 1942, lui avait �crit pour lui demander : � Qui �tes-vous, quel �ge avez-vous, puis-je vous aider ? � Eudora Welty a pass� toute sa vie entre les murs de la maison familiale construite par son p�re � Jackson, Mississippi o� elle naquit en 1909 et o� elle m�nera une existence discr�te, solitaire et secr�te. Si son oeuvre a obtenu les prix les plus prestigieux, elle reste peu connue en France malgr� la publication de ses ouvrages chez Flammarion. Elliptique, impressionniste, d'une �criture f�line qui joue des silences et des myst�res de l'�me humaine, Eudora Welty effleure plus qu'elle ne d�crit les blessures de ses personnages. Son art majeur est la Nouvelle: Les pommes d'or , l'Homme p�trifi� , Le Chapeau violet ... Dans les ann�es 30 au moment de la � grande d�pression �, elle parcourt le Mississippi pour un reportage photographique. Cette exp�rience lui � apprit � voir � disait-elle. Instantan�s de vie, �tats d'�me, atmosph�re des champs de coton, mis�re sociale, solitude humaine du Sud profond... Ces fragments de vie vol�s au silence, � l'arrach�, ces personnages d�jant�s, vuln�rables, personnages anonymes, quotidiens, on les retrouve dans ses Nouvelles , saisis au moment o� leur vie se l�zarde. Tout l'art d'Eudora Welty est dans la suggestion de sentiments t�nus, impalpables qui dissimulent la violence et l'exc�s, qui disent l'inavou� et le secret, la mis�re, le racisme, la solitude, l'abandon et l'exil de soi, tout le tragique de la vi |
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